Borloo, fin de parti

Le dirigeant centriste français Jean-Louis Borloo, en retrait de la scène politique depuis fin janvier pour problèmes de santé, a annoncé, dimanche 6 avril, à la veille de ses 63 ans, son intention de « mettre un terme » à ses fonctions et mandats, selon un courrier envoyé au comité exécutif de son parti l'UDI, dont il était le président. Ici à Angoulême le 10 mars 2011.

160 chiens saisis, dans un élevage de Juillaguet (16)

Les gendarmes de Villebois-Lavalette (16) ont procédé, vendredi 4 avril 2014, à la saisie " sur réquisition judiciaire et à titre conservatoire" , de 160 chiens dans un élevage de Juillaguet, petite commune près d’Angoulême (16). Ces animaux ont été confiés, à titre provisoire, à la Fondation 30 Millions d’Amis, assistée dans cette opération de sauvetage de grande ampleur par la Fondation Assistance aux Animaux et une équipe du refuge de l’Angoumois. La Fondation 30 Millions d’Amis va porter plainte pour « sévices graves » avec constitution de partie civile à l’encontre de la responsable de l’établissement. Les chiens, vont être acheminés vers des refuges partenaires de la Fondation 30 Millions d’Amis et bénéficieront de tous les soins d’urgence qui s’imposent.

L'animal a-t-il des droits

 

La Vie n°3576

 

Le Monde: érosion marine à Soulac sur Mer (33)

Aquitaine: des plages assaillies par la mer

"Le Signal", à Soulac-sur-Mer (33)

"Druillet, fils de collabo et génie hurlant"

41ème Festival de la Bande Dessinée d'Angoulême (16)

Cavanna s'en va...

 

L'écrivain et journaliste François Cavanna est mort à l'hôpital de Créteil (Val-de-Marne), mercredi 29 janvier, à l'âge de 90 ans. Auteur d'une cinquantaine de livres, dont Les Russkoffs et Les Ritals, il fut le cofondateur, avec Georges Bernier dit Choron, du journal satirique Hara-Kiri qui révolutionna la presse française et ouvrit la voie à Mai 68. Ici à Paris, au siège de Charlie Hebdo, en octobre 2005

Soulac-sur-Mer (33): Le "Signal" en détresse

 

 

A Soulac-sur-Mer (33), une zone particulièrement fragile du littoral Atlantique, l'océan a gagné huit mètres de dunes ces derniers jours, menaçant à terme quelques habitations dont un immeuble de quatre étages, "Le Signal", désormais à 17 mètres à peine d'une falaise de sable, contre 200 m au moment de sa construction dans les années 1960. Les copropriétaires se posent de nombreuses questions: partir ou rester ? Vont-ils être expropriés ? Et dans quelles conditions? Ils se sont adjoint les services d’un avocat. En attendant, les  six personnes qui résident encore ici à l'année vivent dans l’inquiétude, au rythme des marées et des coups de vent. Le fort coefficient d'une prochaine marée (1er février) pourrait précipiter l'évacuation du "Signal". Il s'agirait là de la première expropriation climatique en France. Pour Françoise Mangeot, 72 ans, c'est une véritable déchirure d'envisager devoir quitter son appartement, où elle réside depuis de nombreuses années.